• Cette année, plein nouveaux modèles automobiles ont été mis sur le marché, tous plus performants, équipés, écologiques les uns que les autres.

    Mais ils ne sont pas suffisamment intéressants pour que j'en parle ici, à l'exception du nouveau Volkswagen Multivan. J'ai deux ou trois opinions sur ce monospace qui valent la peine d'écrire un billet de blog.

    Le Volkswagen Multivan, c'est un véhicule que l'on peut retrouver sous d'autres appellations, comme California, Caravelle ou encore Transporter. La 7ème génération de ce modèle vient d'être présentée. Pour faire court, on groupe toute cette série de véhicules sous le sigle T7, qui succède à la précédente génération appelée T6.

    Ce qui saute immédiatement aux yeux avec ce T7, c'est sa forme totalement nouvelle par rapport à celle du T6, qui est en fait une version rafraichie du T5 apparu en 2003. Le T7 reprend la forme générale des précédentes générations mais ses extrémités sont arrondies et adoucies. On y retrouve aussi les dernières fantaisies stylistiques de la marque Volkswagen, comme le pare-choc et la calandre inspirée de celle du Caddy.

    Là où le T7 se démarque, c'est dans son apparence de monospace similaire à ceux que l'on peut retrouver sur le marché japonais. Cette impression me vient des bas de caisse d'apparence légèrement racée, des vitres de custode à l'avant et du becquet arrière ornant la poupe quasi-verticale de cette voiture. Ces éléments sont typiques de la Honda Step WGN Spada, la Mitsubishi Delica D:5 ou encore la Nissan Serena.

    La planche de bord est elle aussi inédite. Elle est soulignée de bandes lumineuses très à la mode et agrémentée d'un matériau dont l'ornement est agréable à l'œil.

    Évidemment, le Multivan est doté de solutions pratiques : tous les sièges sont indépendants les uns des autres, réglables à l'envi et posés sur des rails. L'accoudoir central est lui aussi coulissant, et on peut le glisser vers l'avant comme vers l'arrière. Cet équipement n'est pas vraiment nouveau, on le trouve déjà dans la Nissan Serena ou encore la Renault Scénic, néanmoins il a l'air très amusant à utiliser.

    Pour finir, je vais saluer le choix des couleurs de carrosserie. L'orangé et l'argenté vont bien ensemble, et je suis impatient de voir les autres différentes combinaisons possibles !


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  • Bonsoir.

    Aujourd'hui je vais parler d'une Mitsuoka que j'ai découverte récemment alors que ça fait au moins un an ou deux qu'elle existe.

    Enfin un article à l'ancienne, où je parle d'une voiture au lieu de musique !

    Moi, j'aime les Mitsuoka – les vrai·es se souviendront que j'en ai présenté une sur ce blog il y a 8 ans, les autres cliqueront ici. Encore une fois, j'ai été surpris car ce n'est pas d'une vieille Anglaise qu'on s'inspire mais d'une Américaine des années 60 très iconique : la Corvette Sting Ray décapotable, une auto qui évoque encore aujourd'hui, 50 ans après la fin de sa production, la jeunesse, les blousons de cuir, les blue jeans, le rêve américain et les escapades sur la route 66. C'est pour cela que Mitsuoka a appelé ce modèle Rock Star.

    Si l'on fait attention, on remarque que ce modèle est basé sur la Mazda MX-5 ND (dont les portières, les rétroviseurs et l'intérieur restent inchangés). Les modifications se situent au niveau de la poupe, la proue, les jantes et les coloris. Néanmoins, il ne s'agit pas d'une reproduction fidèle de la Corvette car les phares avant sont petits, circulaires et non escamotables.

    Ce n'est pas la première fois que Mitsuoka se base sur une MX-5. La Rock Star est en fait la remplaçante de l'Himiko, modèle basé sur la Mazda MX-5 NC s'inspirant des roadsters anglais des années 50.

    J'apprécie beaucoup la nouvelle direction prise par Mitsuoka pour la Rock Star. C'est toujours du néo-rétro, mais ce n'est plus inspiré des vieilles voitures anglaises. C'est un peu plus jeune, plus rock & roll, ce qui est plutôt rare dans le paysage automobile alors que ce style est très présent sur le marché des motos à grosse cylindrée.

    Personnellement, je trouve vraiment la Rock Star très cool !

    L'intérieur de la Rock Star est identique à celui de la MX-5, avec comme seules modifications les logos, les inserts et les sièges.

    Mitsuoka a le bon goût d'assortir les coloris intérieurs à la carrosserie, chose rare aujourd'hui mais autrefois très répandu, comme sur la Corvette Sting Ray originale.

     Je m'arrête là parce que je n'ai plus rien à dire.

    Images : Mitsuoka.


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  • Brièvmâ, kom je fè d'abitüd, je vè ojurd'üi parlë d'ün otomobil ke je n'èmè pa partikülièrmâ mè ki m'a plü dè ke j'è vü sët imaj si-desu.

    (Klik sür l'imaj pur l'agrâdir.)

    S'ë gras a së galb è së rôder ke j'è coazi de prëzâtë la Suzuki XBEE sür se blog.

    La Suzuki XBEE, s'ë ün vërsiô agrâdi et plü püisât de la petit Suzuki Hustler.

    Suzuki Hustler

    La Suzuki Hustler ë-t-ün kei, se ki n'ë pa le ka de la Suzuki XBEE, ki ë, ël, boku moê karë è, a mô gu, û pe plü joli.

    Ël pe ëtr ëkipë de katr ru motris, ki se môtr pratik â zon-z-ânëjë.

    L'êtërier ë, lüi, partikülièrmâ trist, è lë sièj o flâ jon et la plâc de bor ivoar sô loê de râdr plü calerez l'atmosfèr.

    Je truv set êtërier â total dëkalaj avëk l'imaj ke râvoa l'ëkstërier, trè-z-aksë sür lë loazir è lë spor. Lë flâ jon flüo pev fèr alüziô a sët ünivër, mè se n'ë pa süfizâ, è sürtu le lô bâdo ivoar n'a pa sa plas la-dedâ. J'orè prëfërë ün otr kuler.

    La form dë büz d'aërasiô rapël sël dë far avâ. S'ë-t-û dëtai ke j'èm biê. Parëi pur lë panël de komâd â form d'âsêt silêdrik, ke je voa de plüs-â-plüs d'aier.

    Û bô poê o mültiple-z-espas de râjmâ. S'ë se ke j'èm le plüs cë lë vëikül japonè.

    Suzuki XBEE

    Mô prëfërë, s'ë l'espas su le siëj.

    Je ne me laserè jamè de voar la Suzuki XBEE priz â plôjë. Se galb û pe rëtro ë tëlmâ satisfesâ a regardë.

    Take care.

    Foto : Suzuki.


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  • Après tout, pourquoi pas? J'ai bien parlé de la Twingo, il serait dommage d'ignorer celle avec qui la Renault partage 65 % de ses pièces.

    Parce que oui, la Smart Forfour (et je mets des majuscules même si Smart persiste à ne pas le faire!) partage 65 % de ses pièces avec la Renault Twingo. Le partenariat entre Renault et Daimler a du bon finalement (par ailleurs, dernièrement, la toute nouvelle Renault Espace vient de sortir et, grâce à l'expertise de Daimler, elle égale sûrement les Allemandes en terme de qualité de finition...).

    Remarquez, dans l'image ci-dessus, la prise d'air sur l'aile droite, vers l'arrière. Comme la Twingo, c'est derrière que le moteur se trouve et il s'agit bien d'une propulsion.

    On peut voir beaucoup de points en commun avec la Twingo, comme la forme et l'emplacement des phares, le fait que les vitres arrières soient entrebâillantes ainsi que la ligne générale qui est très légèrement différente pour moi. Ce sont surtout les coloris et la fameuse cellule de sécurité Tridion qui la démarquent.

    La Forfour conçue en partenariat avec Renault n'est pas le premier modèle à cinq portes de Smart: il y a dix ans déjà apparaissait la première Forfour (for four, qui veut dire « pour quatre »), mais ce fut un fiasco. Fin 2014, Smart recommence, et voilà le résultat.

    Elle est si moderne, et il ne faut pas avoir peur de passer inaperçu pour l'apprécier.

    Pour tout vous dire, j'ai une - toute - petite préférence pour la Smart: elle est plus ronde, plus moderne et plus élégante. L'intérieur aussi paraît moins cheap que celui de la Twingo, même s'ils se ressemblent beaucoup.

    Vous remarquerez que le levier de vitesse et moultes autres pièces viennent de chez Renault, comme certains boutons, les lève-vitres ou encore les ceintures de sécurité...

    Il est possible de connecter son smartphone au système multimédia du véhicule. Dommage que je n'aime pas l'idée qu'il soit intégré de cette façon-là à la planche de bord.

    Les modèles les plus chers sont équipés d'un écran tactile, comme dans l'image ci-dessous.

    J'aime beaucoup l'anormalité de cet intérieur bleu et blanc. C'est rare et futuriste, mais salissant...

    Sinon, la modularité est la même que dans la Twingo et les sièges sont de type baquet.

    Digression: à quoi ressemblerait une version luxueuse de ce modèle? et une Twingo Initiale Paris, à quoi ressemblerait-elle?

    Il me reste des images où l'on voit qu'elle se fond bien dans le paysage romain.

    Bon. A bientôt sur Ady et les automobiles. Il se fait tard, je dois dormir.

    Orange Caramel - 까탈레나 (Catallena)

    Images: Autoblog.


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  • Que je l'adore!

    L'ancien modèle ne fut beau à mes yeux qu'une fois restylé en 2011.

    On est bien loin de la première Twingo. C'est personnalisable, plus du tout un jouet.

    Alors, certes, elle ne plaît plus vraiment à ceux qui ont adoré la première génération (celle de 1993); mais je trouve qu'elle a le même esprit: elle est toujours fun et joyeuse, même si elle a perdu son regard de grenouille et ses sièges arrières coulissants.

    Le changement est frappant! En plus, il est arrivé pile-poil avec l'arrivée de la Peugeot 108. Je ne pouvais pas parler de cette dernière sans parler de la Twingo.

    Justement, elle a été conçue avec Daimler; c'est pour cela qu'elle partage 65 % de ses pièces avec la nouvelle Smart Forfour.

    Vu de derrière, on voit la ressemblance avec la R5 Turbo; elle partage d'ailleurs avec la Twingo le fait que le moteur soit placé à l'arrière.

    C'est pour cela que la poupe est parée de grilles d'aération.

    Des mauvaises langues affirment qu'elle ressemble à la Fiat 500 actuelle. Moi, je ne vois pas du tout la ressemblance entre ces deux voitures.

    Vous aurez remarqué que la nouvelle Renault Twingo est personnalisable (vous n'avez pas remarqué? mince, alors...), et la blanche ci-dessus est dotée du Pack Sport, ce qui lui donne un air sportif, comme les élargisseurs d'ailes et les autocollants latéraux.

    La version que je préfère est celle présentée ci-dessous.

     

    Elle est plus civile. Et puis j'aime la couleur.

    Si vous avez l’œil affûté, vous aurez remarqué que cette Twingo rouge était un modèle destiné au Royaume-Uni.

    Il y a aussi un toit en toile!

    On retourne à la Twingo de tout en haut pour voir son intérieur Rouge et Ivoire. L'intérieur lui aussi est personnalisable de la sellerie aux inserts. L'ensemble se veut sportif avec un volant à trois branches pas tout à fait de forme circulaire et des sièges qui ressemblent à de vrais sièges de type baquet.

    Plusieurs couches de tapis épais recouvrent le plancher du coffre afin d'isoler l'habitacle de la chaleur du moteur, mais apparemment il vaut mieux ne pas avoir de glace dans ses provisions.

    Pour finir, des images de l'intérieur Ivoire

    Il n'y a pas de compte-tours.

    Il y a des espaces de rangement, mais celui-là précisément est un peu mal placé: il s'ouvre à chaque coup de genou.

    Je crois que les sièges risquent de ne pas être confortables pour tous les gabarits...

    La nouvelle Twingo est plus habitable tout en étant moins longue que sa prédécesseure. Pour être monté dedans, je confirme que la banquette arrière n'est pas inconfortable.

     

    Les sièges arrières ne sont plus coulissants comme dans l'ancien modèle à cause du moteur placé à l'arrière, mais ils sont inclinables et surtout rabattables de façon à former un plancher plat, et c'est parfait pour le chargement d'objets encombrants.

    Vous l'aurez compris, j'adore la toute nouvelle Twingo. Elle est bien meilleure que l'ancien modèle, qu'on le veuille ou pas; de plus, elle a reçu un prix de chez Top Gear cette année, et Top Gear, qui quand même est connu pour sa mauvaise foi, ça peut être une référence pour moi.

    Bon. C'est fini. A la prochaine. En attendant, je vous invite à commenter et répondre au sondage, comme vous voulez.

    Babylone - Zina

    Images: What Car?L'argus.fr, Autoblog.


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